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Heure : 20h30
Lieu : Salle des fêtes
En faveur de la lutte contre l’autisme, le Rotary club Apt Cavaillon en Luberon vous invite à cette comédie.
Pièce de Jean-Marie CHEVRET
Mise en scène de Martine de LAURADOUR-LACÔME
4 personnages Création : 2004 Décor : appartement (meubles seuls) Durée : environ 1h 40 Pas d’entracte
L’histoire : Jean Marmion, prof d’histoire à la Sorbonne va prendre sa retraite. Son nouveau "travail" est de transformer sa résidence secondaire en habitation principale. Sa conversation monomaniaque a un vocabulaire fleuri. Il ne parle que de magnolia, mimosa, saule pleureur, terrasse, véranda... Son rêve : devenir le gentleman farmer de Saint Pantaleon (Vaucluse). Obnubilé par son idée fixe, ce grand égoïste a oublié de demander son avis à son épouse.
Odile, elle, femme au foyer, est Parisienne jusqu’au bout des doigts : abandonner son appartement cossu, en plein Paris, pour aller dans une campagne perdue, troquer le bitume pour la gadoue ! Elle freine des quatre fers !
Mais, avec sa retraite, le couple ne roule pas sur l’or. L’appartement est donc mis en vente mais Odile décourage tous les acheteurs.
Sur les conseils de la pétulante Marie-Claire, sœur de Jean, ils vont prendre une locataire, jeune comédienne qui va bousculer, malgré elle, la vie des Marmion. Odile était comédienne, elle a abandonné par amour une carrière prometteuse. Et si le destin lui permettait de prendre une éclatante revanche...
L’auteur :
Avec quatre pièces à l’affiche des théâtres parisiens en quatre ans, Jean-Marie CHEVRET, véritable styliste du théâtre comique, a su se faire une place au soleil dans le cœur du public.
Son secret est de traiter, sous forme de divertissement, les thèmes actuels, sa force c’est le dialogue ; il a la facilité du mot d’auteur, il le sait, il en use et en abuse.
Sa première pièce, « le Squat » traitait du racisme, sa deuxième, « les Amazones » des femmes délaissées par les hommes.
Avec « Faux départ », il pose la question du troisième volet de la vie et observe ici avec tendresse et drôlerie, que de nos jours, à l’approche de la retraite, nombre de nos contemporains redémarrent une nouvelle vie. Impensable au temps de nos grands-parents !